Vladimir Poutine a-t-il été fragilisé par la rébellion armée de Wagner ? Sur qui peut-il vraiment compter ? D’abord, sur son bras droit, Sergueï Choïgou, ministre de la Défense. Cet ingénieur en travaux publics est son ami intime. Fier de porter l’uniforme sans jamais avoir été militaire, il est très loyal au président. C’est également le cas de Valeri Guerassimov, le chef d’état-major des armées russes. Ces hommes sont les ennemis jurés du chef de Wagner, Evgueni Prigojine, et ont à leur disposition plusieurs centaines de milliers de soldats.
Soutenu par le président tchétchène
Autre soutien de Vladimir Poutine, Alexandre Bortnikov, le patron du FSB (les services de sécurité russes). Dès ce vendredi 23 juin, il a ouvert une enquête contre Evgueni Prigojine pour “appel à la mutinerie armée”. Le président russe a également toujours pu compter sur les forces de la Garde nationale menées par Viktor Zolotov, son ancien garde du corps. Enfin, le président tchétchène, Ramzan Kadyrov, est un fidèle parmi les fidèles. Il a envoyé ses blindés et ses hommes dès samedi matin, à la rescousse de Vladimir Poutine.
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