Un champ en feu : le résultat des gaz lacrymogènes lancés par les forces de l’ordre pour repousser les manifestants anti-bassines. “Ils mettent nos vies en danger”, fustige Johanne Rabier, porte-parole du mouvement “Bassines non merci”. De leur côté, les autorités justifient leur usage : des manifestations interdites, des participants (dont de nombreux masqués) qui progressent vers une usine agroalimentaire et une réserve d’eau malgré les sommations.
Les manifestants se sont repliés
Tous ces manifestants réclament un moratoire sur les mégabassines en France. Après quelques mètres, la garde républicaine a stoppé le cortège. Les autorités craignent que des black blocs aient infiltré le mouvement. Les manifestants ont appelé au calme. La Coordination rurale, favorable aux bassines, s’est aussi invitée pour faire entendre sa voix. En fin d’après-midi, les opposants ont renoncé à leur manifestation et se sont donné rendez-vous le lendemain pour une nouvelle journée d’action à La Rochelle (Charente-Maritime).
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