Présent dans Affaire conclue depuis son lancement en 2017, Harold Hessel en est l'un des commissaires-priseurs principaux. L'occasion de présenter ce passionné d'objets qui oeuvre aussi dans les coulisses pour aider la production.
Déjà 6 ans qu’Harold Hessel raconte aux vendeurs d’Affaire conclue l’histoire des objets dont ils souhaitent se séparer. Ce sympathique commissaire-priseur participe à l’émission de France 2 désormais présentée par Julia Vignali depuis son lancement et régale les téléspectateurs de ses expertises pointues. S’il fait partie d’un groupe d’une dizaine de commissaires-priseurs qui tournent sur Affaire conclue, Harold Hessel en est bien l’un des principaux et des plus appréciés. Dans la séquence ci-dessous, on le voit expertiser un ravissant lot de fauteuils datant du XIXème siècle :
Une première expérience télé avant Affaire conclue
Âgé de 44 ans, Harold Hessel est issu d’une famille aux origines allemandes installée dans la région bordelaise. Comme l’indique son site, il a été diplômé commissaire-priseur en 2004 et a travaillé au prestigieux Hôtel Drouot, place incontournable des antiquités à Paris. Harold Hessel a également travaillé chez un grand décorateur de la capitale, une galeriste ou encore pour un site Internet proposant la vente d’objets en ligne. Affaire conclue n’est pas sa première expérience télé : son aisance et sa pédagogie avaient déjà été remarqués par l’équipe de Vos objets ont une histoire, émission éphémère consacrée aux antiquités et présentée en 2014 sur France 2 parCharlotte de Turckheim.
L’importante mission d’Harold Hessel auprès de la production d’Affaire conclue
Très impliqué dans Affaire conclue, Harold Hessel n’y a pas que la mission d’expertiser les objets des vendeurs… Il est également celui qui aide la production à sélectionner les pièces qui seront présentées dans l’émission parmi les centaines de candidatures qui sont reçues quotidiennement. “Tous les jours, il y a 100 à 150 personnes qui s’inscrivent et donc, je vais aider l’équipe du casting pour sélectionner les objets. C’est-à-dire qu’en quelques minutes, il faut que sur photographie, je puisse donner quelques renseignements. Ça vaut 100, ça vaut 1000, ça vaut 10 000 euros, et je rajoute un petit commentaire“, avait-il détaillé sur Europe 1 en mai 2023.
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