Alors qu’il était incarcéré pour le meurtre de Marie Trintignant, Bertrand Cantat était toujours soutenu par la mère de ses enfants Krisztina Rady – et toujours son épouse- malgré leur séparation. Cette présence n’a pas empêché le chanteur de s’en prendre à elle à plusieurs reprises au parloir lors de ses visites, d’après le témoignage d’un ancien détenu.
Alors qu’il était incarcéré pour le meurtre de Marie Trintignant, Bertrand Cantat était toujours soutenu par la mère de ses enfants Krisztina Rady – et toujours son épouse- malgré leur séparation. Cette présence n’a pas empêché le chanteur de s’en prendre à elle à plusieurs reprises au parloir lors de ses visites, d’après le témoignage d’un ancien détenu.

Alors qu’il était incarcéré pour le meurtre de Marie Trintignant, Bertrand Cantat était toujours soutenu par la mère de ses enfants Krisztina Rady – et toujours son épouse- malgré leur séparation. Cette présence n’a pas empêché le chanteur de s’en prendre à elle à plusieurs reprises au parloir lors de ses visites, d’après le témoignage d’un ancien détenu.

Bertrand Cantat est devenu plus tristement célèbre pour avoir tué Marie Trintignant que pour son parcours dans la musique et le succès qu’il a connu avec le groupe Noir Désir. A 59 ans, l’artiste est libre mais sera à tout jamais condamné par l’opinion publique pour avoir provoqué la mort de la comédienne dont il a partagé la vie. Jaloux et possessif, Bertrand Cantat rejoint Marie Trintignant en juillet 2003 sur un tournage à Vilnius en Lituanie. Une dispute éclate dans la chambre d’hôtel : Bertrand Cantat lui assène des coups au visage provoquant de terribles lésions physiques et cérébrales qui conduiront à sa mort quelques jours plus tard.

Condamné à plusieurs années de prison, Bertrand Cantat est finalement ressorti libre plus tôt que prévu grâce à une remise de peine. Pendant son séjour en prison, il recevait les visites de son épouse Krisztina Rady, mère de ses enfants dont il était pourtant séparé et qui l’a soutenu tout au long de son procès. À sa sortie, le couple s’est laissé une chance qui sera a priori fatale à Krisztina. Cette dernière s’est donné la mort en 2010, suicide dans lequel Bertrand Cantat aurait sa part de responsabilités selon plusieurs proches.

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Ce jeudi 9 mars, Le Point dévoile les extraits du livre d’Anne-Sophie Jahn, Désir Noir publié chez Flammarion, sur l’affaire et notamment la relation qu’entretenaient Bertrand Cantat et Krisztina Rady. Une histoire d’amour rythmée par les visites houleuses au parloir d’après un ancien compagnon de prison du chanteur : “J’ai assisté, comme les détenus et surveillants, à ses colères monstres au parloir contre sa femme, déclare-t-il. Elle partait en larmes avec les enfants. Il lui donnait des ordres : ‘Va m’acheter ceci !’ et si elle ne le ramenait pas…” Le témoin est formel, Krisztina était la seule à subir ce genre de comportements : “Avec son frère ou les membres du groupe qui sont venus le voir au parloir, il était calme, mais avec sa femme, il était dirigiste, si ça n’allait pas comme il voulait, il n’était pas content.” Même les autres détenus mettaient parfois le olà : “[Ils] intervenaient, lui disaient : ‘Oh Cantat, ça suffit, calme-toi. On ne veut pas de bruit dans le parloir !'”

Krisztina Rady, à bout

Le mariage entre Krisztina Rady et Bertrand Cantat a duré dix-sept ans. Une longue relation ayant vu naître deux enfants, Alice et Milo, 20 et 26 ans, mais loin d’être épanouissante. Abandonnée par le chanteur au profit de Marie Trintignant, Krisztina Rady est restée jusqu’au bout l’un de ses piliers et son plus fidèle soutien, malgré tout. Jusqu’à la fin, elle aura tenté de sauver cette histoire. En vain.