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L’adolescente américaine, reine de la country, veut s’offrir une home sweet home au Royaume-Uni pour se rapprocher de son petit ami, le chanteur britannique Harry Styles. Pour raviver la flamme d’une histoire difficile, Taylor emploie les grands moyens.
Quand Taylor Swift aime, elle ne fait pas les choses à moitié. Déjà qualifié d'”obsessionnelle” par la presse quand il s’agit de sa vie amoureuse, la jeune chanteuse de country récidive et se fiche du qu’en-dira-t-on. Elle est en ce moment à la recherche d’une maison douillette tout près de celle de son amoureux, le chanteur des One Direction, Harry Styles. La demeure du garnement de 18 ans se trouve à Primrose Hill et vaut 3 millions de dollars. Ce quartier branché de Londres, compte entre autres parmi ses adeptes Kate Moss, Sienna Miller, Daniel Craig ou encore Tim Burton.
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La future transaction immobilière représente une bouchée de pain pour la reine des charts américaine. Taylor Swift est l’une des artistes les plus riches de son âge. Et elle a la mauvaise habitude d’acheter des maisons comme on achète des bonbons. Aux Etats-Unis, elle compte déjà trois propriétés à deux pas de chez ses ex, dont le dernier en date n’est autre que le petit fils de Bobby Kennedy, Conor. Cet été, elle s’est offert une propriété de 13 chambres à 4,9 millions de dollars dans le Massachusetts. Son patrimoine est également composé d’une maison à Nashville à 2,5 millions de dollars, achetée en 2011. Elle possède encore un appartement penthouse énorme dans la ville, ainsi qu’une maison de 3,3 millions de dollars à Beverly Hills.
Une source citée par le Sun explique que « Taylor est persuadée qu’elle peu reprendre son histoire avec Harry là où elle l’avait laissé ». Le couple avait rompu après que Harry a été aperçu en train d’embrasser le mannequin néo-zélandais Emma Ostilly. Mais qu’importe, Taylor n’a qu’une vie et « elle a même demandé à Harry s’il pouvait visiter certains endroits avec elle, car il connaît bien la région » toujours selon le Sun. En voilà une à qui personne n’a expliqué l’intérêt de se faire désirer.